Actualité du: 12 août 2012
La Direction Générale pour les Sciences israélienne accorde une subvention de 1,33 millions de dollars à Cell Cure Neurosciences
Cell Cure Neurosciences Ltd., dont le Chef de la Direction Scientifique, le Pr Benjamin Reubinoff, est aussi le Directeur du Centre pour la Recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines relevant du CHU Hadassah, vient de recevoir une subvention de 1,3 millions de dollars accordée par l’OCS (Office of the Chief Scientist d’Israel – Direction générale pour les sciences), pour une aide au développement d’un traitement de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).
Cell Cure, créée en 2005, fabrique plusieurs produits provenant de cellules souches embryonnaires (ES) humaines de qualité dite « clinique ». Parmi les projets en cours, le développement de cellules pour le traitement de la dégénérescence maculaire et de la maladie de Parkinson et des cellules pouvant se révéler utiles pour le traitement de la sclérose en plaques. Pour son produit cellulaire OpRegen(R), Cell Cure demandera l’autorisation d’effectuer des essais clinique sur l’homme en 2013
« Nous remercions la Direction générale pour les sciences de l’aide ainsi apportée. Cela permettra à la médecine régénératrice de faire un grand pas en avant, » déclare Charles Irving, Directeur Général de Cell Cure. « Nous pensons que la qualité de vie d’une population vieillissante dans de nombreux pays industrialisés pourra être considérablement améliorée par OpRegen(R), » poursuit-il. « Ainsi, c’est un investissement stratégique pour Israël, mais aussi pour les autres pays. »
La DMLA est une forme grave de perte de vision et une cause majeure de cécité chez les personnes âgées. La partie de la rétine lésée par la maladie est celle qui est la plus sollicitée dans la vie de tous les jours, pour la lecture et la reconnaissance des visages. « Je m’associe au Dr Irving dans ses remerciements adressés à l’OCS pour son généreux soutien permettant à la biologie des cellules souches d’atteindre plus rapidement le stade clinique, » ajoute le Pr Reubinoff.
